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Carnage derrière le grillage

Bonjour ,

La chasse d’animaux prisonniers derrière des grillages est une pratique cruelle, non-éthique, écologiquement aberrante… et malgré tout légale en France. Pendant plusieurs mois, l’ASPAS a infiltré un parc de chasse privée situé en Nouvelle-Aquitaine. Nous y avons filmé des pratiques sadiques et insupportables sur des sangliers.

Dans ce parc, les chasseurs ne tirent jamais sur le sanglier la première fois qu’ils le voient. La traque peut durer aussi longtemps que voulu (plusieurs heures, parfois toute la journée) puisque l’animal ne peut pas s’échapper. L’objectif des chasseurs est de faire courir le sanglier le plus longtemps possible, poursuivi par les chiens, en le suivant en voitures et en quads avant de décider du moment de sa mise à mort.

Un enquêteur témoigne : « Comme ils [les chasseurs] sont sûrs de l’avoir [le sanglier], ils ne le tuent pas tout de suite. Il faut s’être amusé avec. »

Méconnue, la chasse d’animaux en captivité n’est pas anecdotique puisqu’elle concerne environ 1 300 parcs et enclos en France qui détiennent au total entre 50 000 à 100 000 animaux : cerfs, chevreuils, mouflons, daims, etc.

C’est aussi un business juteux : les propriétaires font payer au prix fort à des chasseurs le droit de venir tuer des animaux.

Avec l’ASPAS, demandez l’interdiction
de la chasse d’animaux en captivité !

Merci de signer notre appel et de le partager largement autour de vous.

L'équipe de l'ASPAS

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