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Parmi nos actualités en février : une mobilisation européenne pour les loups, un appel à s’opposer à la chasse aux cerfs dès le 1er juin, une victoire pour les « nuisibles » et notre soutien à la déclaration européenne du droit des animaux. Bonne lecture ! 

En décembre 2024, 5 ONG ont saisi le Tribunal de l’Union Européenne pour contester la décision, prise le 26 septembre par le Conseil de l’Europe, de soumettre au Comité permanent de la convention de Berne un amendement visant à abaisser le statut de protection du loup. Le Tribunal a officiellement ouvert une procédure le 19 février, ce qui a motivé l’ASPAS à rejoindre le recours. > En savoir plus 

 En attendant que la justice se prononce, la fronde inter-associative et citoyenne #EAW ne faiblit pas ! Plusieurs actions de mobilisation, coordonnées en France par l’association Focale pour le sauvage, sont proposées sur le site europeanactionwolves.org, notamment l’interpellation des décideurs politiques européens sur les réseaux sociaux.    

Le gouvernement projette d’avancer de trois mois l’ouverture de la chasse au cerf élaphe, soi-disant pour lutter contre les dégâts agricoles et forestiers croissants imputés à cette espèce… Devant cet énième cadeau injustifié attribué au monde cynégétique, l’ASPAS vous invite à vous opposer massivement à ce projet en participant à la consultation publique avant le 11 mars 2025 !  

Le 17 février 2025 a été solennellement proclamée, dans plusieurs villes de France, la Déclaration européenne des droits de l’animal (DEDA), un texte élaboré par un collectif d’experts en droit animalier et soutenu par de nombreuses associations, dont l’ASPAS.  > En savoir plus 

Non contentes de ne pas avoir assez de martres, fouines, pies et renards à massacrer, huit fédérations départementales de chasse avaient jugé bon de saisir, à l’automne 2023, le Conseil d’Etat pour tenter d’obtenir du ministère de la Transition écologique un arrêté encore plus mortifère… Des demandes toutes rejetées, le 10 février 2025, par la plus haute juridiction administrative française !  > En savoir plus

En France, les animaux sauvages ne subissent pas seulement la terreur de la chasse, ils sont aussi persécutés par une autre branche armée, plus confidentielle, mais nettement plus impitoyable : la louveterie. Qui est-elle ? Que fait-elle ? À l’occasion du renouvellement de leurs effectifs jusqu’en 2029, l’ASPAS lève un coin du voile sur cette sinistre institution méconnue du grand public.   > En savoir plus

Capté par l’une de nos caméras automatiques, un geai des chênes a été filmé dissimulant un gland dans le sol… Il a ensuite été revu 10 jours plus tard déterrant le fruit pour l’emmener plus loin ! Un superbe moment naturaliste que nous avons plaisir à vous partager… 

Le service juridique a également accompagné une bonne quarantaine de propriétaires en refuge ASPAS, confrontés notamment à des problèmes divers et variés avec les chasseurs (passages de chiens, panneaux chasse interdite arrachés, etc.). Trois nouveaux refuges ont aussi été créés, pour un total de 50 nouveaux hectares soustraits à la chasse. > En savoir plus sur la mise en refuge ASPAS

Par ailleurs, un courrier inter-associatif a été envoyé au préfet du Jura pour demander la radiation du lieutenant de louveterie condamné pour avoir laissé un charnier de renards aux abords de la rivière Lemme.

Pour consulter nos victoires phares,
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Mon département est-il concerné par la prolongation de la chasse aux sangliers en mars ?   > Lire la réponse

En février, le journal La Montagne a consacré un gros dossier aux animaux (injustement) considérés comme « nuisibles », avec plusieurs interventions de l’ASPAS. Pour lire la version en ligne, c’est ici.

Sur le site de France Info, vous pourrez lire la tribune que l’ASPAS a co-signée aux côtés de nombreuses autres ONG pour alerter sur les reculs environnementaux gravissimes contenus dans la loi d’orientation agricole.    

Le magazine Wapiti, destiné aux enfants de 7 à 12 ans, nous a par ailleurs sollicités pour notre expertise sur les blaireaux. Un sujet à découvrir dans l’édition de mars à paraître.  

L’ASPAS, association reconnue d’utilité publique :
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PS : Si vous êtes imposable, 66% du montant de vos adhésions et dons est déductible des impôts. Un don de 30€ vous revient à 10,20€. Merci de votre soutien pour les animaux sauvages.